En attendant une meilleure météo et pour ne pas compromettre la fin de saison apicole, on est amené parfois à distribuer des substituts de protéines. Les récoltes de pollen étant trop faibles, les nourrices ne trouvent plus la nourriture nécessaire à l’élaboration de l’alimentation du couvain et de la reine. Bien entendu, rien ne vaut des rentrées naturelles de pollen issu d’une grande variété de fleurs. Mais les caprices du temps cumulés à une modification des paysages et une utilisation trop importante d’herbicide font que le bol alimentaire de l’abeille ne cesse de diminuer.Le but : éviter que la colonie carencée en éléments essentiels n’élimine les mâles, mais également permettre à la reine de poursuivre sa ponte malgré la météo.Gilles Fert
Voir l’article de Gilles Fert : attention_manque_pollen